la galerie des garces
la galerie des Garces
La Borgia
La Brinvilliers
La Jegado
La Bathory
La Farge
la Victoria
les Papin
la Besnard
La Thatcher
La Mère Quelle
La Garce
cette petite denière mérite bien une autre image:
et le 5 juillet 2015
LA GARDE A PEUR
MAIS NE SE REND PAS, merde !
il nous faudra donc à l'insu de notre bon gré
continuer à l'haaaaaaaaaaaaaaaaaaaarceler !
ΑΓΩΝΙΖΟΜΑΙ ΑΡΑ ΥΠΑΡΧΩ
ενάντια στην λιτότητα, για την δημοκρατία
είναι η αρχή
ο αγώνας συνεχίζειζειζειζειζει
seux et d'autres
L'article a été écrit en mars
plusieurs contretemps en ont retardé la publication.
Il reste, au moins en partie, d'actualité : "salopard d'un jour, salopard toujours !"
cet individu
est une ordure !
Si vous le rencontrez à Paris ou ailleurs
crachez lui au visage, de ma part et sans peur
Poursuivez votre lecture en écoutant
RITSOS mis en musique par Théodorakis :
http://youtu.be/9Lb5kcVUp4U
nous lui foutrons au cul un grand coup de tsarouche
si fort que le pompon sortira de sa bouche
les méfaits de ce Seux ne datent pas d'hier, exemple:
Dominique Seux,
le parfait collabo
à la langue d'occupation
L'émission « Répliques » d'Alain Finkielkraut, diffusée le samedi 20 juillet 2013 sur France Culture,
était consacrée à l'anglicisation de l'université française :
Parmi les invités se trouvait Dominique Seux, journaliste économique, directeur délégué de la rédaction du journal Les Échos, chroniqueur sur France Inter, un personnage médiatique, bardé de diplômes et de fonctions, mais qui, toutefois, ne semble pas maîtriser les notions de langue maternelle, langue véhiculaire et langue officielle. Ainsi, on l'entendra dans le cours de l'émission souhaiter que l'anglais devienne la « deuxième langue maternelle » de la France et de l'université française, ou prendre l'exemple d'un étudiant indien, « dont la langue maternelle est l'anglais », alors que 0,03% seulement de la population de l'Inde est dans ce cas.
Force est de constater qu'avec Dominique Seux, nous atteignons les sommets de la collaboration en matière linguistique et culturelle. L'esprit pétainiste de soumission, de défaitisme et de non-résistance au plus fort du moment est pleinement illustré par ce triste sire.
Et dire que ce monsieur a obtenu, en 1997, le Mot d'Or décerné par l'APFA (Association pour la Promotion du Français des Affaires), pour avoir fait le meilleur article sur la langue française de l'année 97, un article sur les brevets paru dans Les Échos en octobre de la même année. M. Lauginie, président de l'APFA, peut être fier de son lauréat !
Cela dit, comment faire pour protester comme cet homme qui est une insulte vivante à la langue française et à la Francophonie ?
Nous pensons, hélas, que ce genre d'individu, va devenir de plus en plus fréquent dans le paysage culturel et linguistique français. Comment en serait-il autrement, alors que notre jeunesse est biberonnée à l'anglais dès la naissance et qu'elle aura appris le français en même temps que l'anglais ?
Au lieu de faire une énième lettre de protestation qui finira à la poubelle sans même peut-être avoir été lue, nous pensons qu'il est impératif de faire entendre notre voix par une autre voie : celle de l'affichage sur l'espace public.
Oui, puisque toutes nos actions pour le français, pour la Francophonie, pour la lutte contre le tout anglais, pour le respect du plurilinguisme, semblent être complètement ignorées des décideurs, des médias, des politiciens, des journalistes, du public, faisons voir alors, par notre affichage de protestation, que nous existons et que, ce faisant, la résistance au basculement à l'anglais existe.
En conséquence de quoi, l'Afrav va proposer de lancer une campagne nationale, par le biais de ses adhérents, de ses sympathisants, des associations amies, si elles veulent nous suivre, et de tout citoyen conscient de l'importance de sauver la langue française sur le thème : l'anglais NIKE ta langue, défends-toi !
Des affichettes, des autocollants, des pochoirs vont être faits pour que chacun puisse placarder, partout où il le pourra, et où sévit l'anglais hégémonique, notre slogan direct et sans équivoque : l'anglais NIKE ta langue, défends-toi !
Car, il faut bien le dire, nos associations, devant le raz de marée de l'anglomanie qui avance chaque jour davantage, ne pourront bientôt plus rien faire contre la catastrophe qui s'annonce, si le peuple, lui-même, ne vient pas au secours de sa langue.
Le cas SEUX réglé, retournons chez les GRECS
Une autre musique pour la suite ?
ΤΣΙΠΡΑΣ
ο αλεξίκακος
et observez bien sa main…
bon, il n’est pas tout à fait raccord
mais il peut encore progresser…
Sinon
Le combat des Grecs est universel.
Il ne suffit plus que nos vœux l’accompagnent.
La solidarité qu’il mérite doit s’exprimer en actes.
Le temps est compté.
Serge Halimi
είναι η αρχή ο αγώνας συνεχίζει
Et puis voici une belle idée: un porte-avions contre des djihadistes !
Le porte-avions français Charles-de-Gaule mobilisé contre l'Etat Islamique en Irak
La France engage son porte-avions dans les opérations contre le groupe terroriste Etat Islamique.
et contre la pauvreté qu'engagerez vous ?
le defi essentiel, c'est la misère !
entre ces deux individus la différence est de 35000000000€
ΕΛΛΑΔΑ vs DEUTSCHLAND l'AGNEAU vs le LOUP
.
faudra-t-il que les Grecs rechaussent leurs tsarouches
pour répondre à l'UE par un OXI farouche ?
« Dans l'Histoire de l'UE, rien de bon n'est jamais venu d'un ultimatum »,
a rétorqué Yanis Varoufakis à ses collègues européens
qui veulent que la Grèce continue sur la voie imposée par la -
Ιl se référait probablement et fort justement à l'ultimatum de Mussolini en 1941-.
OXI à ΣΟΙ ΜΛΕSoieBleue
und das
face à eux, QUELS ALLIES pour la GRèCE ?
GRèCEΓΑΛΛΙΑ
ΕΛΛΑΔΑFRANCE
Ένα ωραιό παράδειγμα της αλληλεγύης !
un bel exemple de solidarité !
Όλοι μαζί
hihihihi !
όλοι νάζι
« les peuples d’Europe doivent se tenir la tête haute ! »...
...afin que l'Angela bourrelle Merkel
la leur coupe plus aisément ?
avec «σοι μπλε chou bleu »
ce n’est pas mieux
à la hache, il préfère le couteau
pour être plus près de ses victimes.
Descendant de NOSFERATU
bon sang ne saurait mentir
sucer celui de ses compères européens
délectation suprême
les monstres ont toujours hanté notre univers
La Fontaine et ledif en tirent quelques vers
La raison du plus fort fait, hélas! des malheurς:
Remettons nos montres à l'heure.
Un Agneau buvait son ouzo
à la terrasse d’un kafenio.
Un Loup teuton surgit, épris de dictature
Et plein de jalousie, sauta de sa voiture.
-Tu vas me refiler tout de suite ce breuvage ?
Dit cet animal plein de rage :
Si tu me le refuses ton sang je le boirai.
-Mon loup, répond l'Agneau, veux-tu bien te calmer
et ne pas te foutre en colère ;
Regarde plutôt ma misère
dont je vais me consolant
tout en chantant,
à vingt pas de tes longues oreilles;
Et que par conséquent, en aucune façon,
de tes Wagner je ne puis troubler l’audition.
- Tu la troubles, reprit le monstre sans pareil
Je sais aussi le mal que tu fis au führer !
- Eh ! c’était lui plutôt lui qui semait la terreur.
Reprit l'Agneau, moi je comptais mes os.
- Si ce n'est toi, alors c’était Glézos.
- Quel grand héros ! - C'est donc quelqu'un des tiens
qui sans rien épargner, veut nous voler vos biens !
Σοι μπλε l'a dit : Deutschland veut qu'on la venge.
Là-dessus, pour une histoire de prêts
Loup saigne Agneau, et puis le mange,
Sans autre forme de procès.
Ζαν ντε λα Φονταινε και λεδιφ τροκας
Plus sérieusement...
Pourquoi un tel acharnement sur la Grèce ?
la réponse dans l'article, bien documenté, qui suit
très bien traduit par notre amie Chistine ARNAUDON:
"Les Allemands nous doivent 1000 milliards d’euros !
Le pays qui en réalité est débiteur, c’est l’Allemagne envers la Grèce, et non la Grèce envers l’Allemagne.
Et si le gouvernement allemand répond avec un aplomb qui dépasse les bornes que «le sujet n’est plus de mise» et que le ministre grec de l’économie joue avec notre quotient intellectuel lorsqu’il dit que le dossier a disparu des tiroirs de la Cour des Comptes, nous, nous cherchons à savoir la vérité. Et nous nous devons de la chercher pour honorer tant soit peu que ce soit les milliers de Grecs qui se sont sacrifiés pour qu’aujourd’hui les Européens (et pas seulement eux) vivent libres.
Venons-en donc à ce qui est dû
Les éléments que nous présentons ci-dessous proviennent d’... une étude approfondie, ainsi que de spécialistes allemands.
Aussi incroyable que cela paraisse, ce petit, ce fragile pays qu’est la Grèce a accordé, au tournant le plus pénible de son histoire, un prêt à la toute-puissante Allemagne (et sans lui envoyer la... « Troïka »). Ce prêt cependant n’a jamais été remboursé.
Non parce qu’il a été considéré comme illégal ou par incapacité financière. Simplement, les Allemands ont fait comme s’ils avaient oublié, et les hommes politiques grecs ont eu peur de le leur réclamer.
Parlons de ce fameux prêt accordé sous l’Occupation, non remboursé depuis plus d’un demi-siècle, après la libération de la Grèce du joug nazi. La somme que l’Allemagne doit nous rendre aujourd’hui oscille entre 54 et 170 milliards d’euros.
« 54 » concerne le remboursement du prêt sans intérêts. La deuxième somme, avec intérêts. Maintenant, de plus, ajoutons à ce qui précède les indemnités de guerre que l’Allemagne n’a jamais payées (c’était le seul pays qui n’a pas reçu de dédommagements de la part de l’Allemagne), sa dette envers la Grèce dépasse mille milliards d’euros !
Et pour qu’on sache bien ce qu’on dit : l’Allemagne n’a jamais aidé à la reconstruction de la Grèce qu’elle a, sans provocation, ravagée. Les États-Unis, L’Angleterre, la Russie, oui. L’Allemagne, cependant, jamais.
Et si l’Allemagne se livre à des bravades contre le gouvernement grec humilié, elle ne pourra pas se comporter ainsi devant un groupe de spécialistes grecs, sous la direction du docteur en sociologie Tasos Eliadakis, qui a l’intention de revendiquer (enfin) le remboursement du prêt que l’Allemagne nie obstinément, illégalement.
Le prêt
Le professeur d’histoire de l’université d’Athènes né à Vienne, Hanken Flaiser estime que la somme due est beaucoup moins élevée : environ 5 milliards d’euros. Cependant, comme il le dit, ce qui importe, et qui lui inspire de la honte envers sa première patrie, l’Allemagne, est le fait que l’Allemagne nazie reconnaissait sa dette envers la Grèce, tandis que l’Allemagne démocratique, non. Examinons comment a été conçue cette dette :
En avril 1941 les Allemands envahissent la Grèce exténuée (par sa guerre simultanée contre l’Italie, l’Allemagne, l’Albanie et la Bulgarie) et occupent la plus grande partie de son territoire, pillant le peuple grec et démantelant son économie (émettant quotidiennement des drachmes pour les troupes d’occupation et engendrant une inflation record).
Les corps de milliers de morts gisent sur les routes. On estime que le nombre de morts sous le joug des Allemands s’élevait à 350.000 (sans compter les victimes d’accidents de la route dans le centre d’Athènes, car les soldats allemands écrasaient pour... rigoler avec leurs engins militaires des piétons grecs réduits à la misère.
C’était l’époque où en Grèce la force militaire de l’occupant comptait 300.000 hommes. L’emprunt était une « idée » des Italiens qui voulaient mettre un terme aux sommes que puisait chaque mois l’administration allemande pour couvrir les frais d’occupation. Les dépenses exorbitantes de l’occupation s’accompagnent du pillage de biens de toute sorte.
L’accord en question pour un prêt sera signé le 14 mai 1942 par les plénipotentiaires de l’Allemagne et de l’Italie, même en l’absence du gouvernement. Conformément à la convention de ce prêt, dont la Grèce n’a été informée que neuf mois plus tard, il fallait qu’elle verse chaque mois 1,5 milliard de drachmes comme frais d’occupation.
Les retraits supérieurs à cette somme effectués par la banque de Grèce constitueraient un prêt sans intérêt. Ainsi, pendant la période de la guerre la banque de Grèce a été contrainte de prêter aux occupants nazis 476 millions de marks allemands, c’est-à-dire 3,5 millions de dollars, selon leur cours de 1938.
Conformément aux analystes, ainsi qu’aux évaluations du conseil national de revendication des dettes allemandes, le prêt sous l’Occupation aujourd’hui se monte à 54 milliards d’euros sans les intérêts légitimes ! D’autres historiens, professeurs et spécialistes ont estimé que la somme oscille à des niveaux inférieurs, cependant elle continue à être une facture exorbitante qui n’a pas été acquittée. Après l’écoulement de 65 années et les transformations qui sont survenues, la dette des Allemands approche au moins les 200 milliards d’euros.
Les conditions du prêt signaient l’anéantissement de la Grèce, qui, naturellement, n’a pas été consultée pour cette convention. Le plénipotentiaire de l’Allemagne, Altenburg, a annoncé que désormais la Grèce effectuerait des retraits pour ce prêt, sous la forme d’acomptes mensuels.
Cependant le montant et la durée du prêt n’étaient pas fixés à l’avance, non plus que la date à laquelle commencerait son remboursement, néanmoins il était fixé qu’il serait sans intérêt et en drachmes. Les versements du fameux prêt sous l’Occupation n’étaient pas réguliers. Par exemple, en août 1941 la banque de la Grèce a prêté en tout 3.997.200 drachmes, tandis qu’en décembre de la même année le montant du prêt a approché les 20.061.100 drachmes. En décembre 1942 le prêt de la banque de Grèce aux Allemands a atteint 205.881.000 drachmes, tandis que le premier trimestre de 1943 conformément à la convention le prêt s’est monté à 804.649.000 drachmes.
Les destructions
Outre le prêt sous l’Occupation non remboursé, le gouvernement allemand est tenu de nous donner des dizaines de milliards d’euros en contrepartie des destructions des infrastructures pendant la période de l’occupation.
Concrètement, ils ont... ouvert un compte avec l’administration, où ils doivent 7,1 milliards de dollars selon le cours de 1938.
Conformément aux éléments fournis par la banque de Grèce, jusqu’en mars 2010 le montant se convertit en 108,43 milliards d’euros, encore une fois sans les intérêts.
Si nous prenons en compte le taux d’intérêt le plus bas de 3% pour les valeurs de 1938, aujourd’hui la valeur de la dette dépasse 1000 milliards d’euros.
Dans la convention était inscrit comme condition que le remboursement de l’argent se ferait plus tard, geste qui n’a jamais été effectué par les Allemands.
Le mensonge de Mme Merkel
Comme le fait maintenant Mme Merkel, tous les gouvernements de l’Allemagne déclinent toute responsabilité. Cependant la somme n’a pas été prescrite, Preuve : ce prêt est chaque année calculé autant par la banque de Grèce que par la banque centrale allemande.
En outre, l’Allemagne a reconnu qu’elle avait contracté cet emprunt sous l’Occupation, quand elle a payé les deux premiers versements. Précisément, peu de temps avant que notre pays soit libéré et que les troupes hitlériennes rentrent dans leur patrie, l’Allemagne s’est acquittée du deuxième versement.
Les dettes de l’Allemagne envers notre pays sont reconnues par des accords internationaux, et également par des conventions internationales. D’ailleurs, la convention ci-dessous mentionnait entre autres :
- Conformément à l’article 2 le gouvernement grec est tenu chaque mois de payer les frais d’occupation, qui se montent à 1,5 milliard de drachmes
- Conformément à l’article 3 les retraits de la banque de Grèce supérieurs à cette somme seront dus aux gouvernements allemand et italien sans intérêt, en drachmes, en tant que prêt que leur fait la Grèce.
- Conformément à l’article 4 le remboursement du prêt se fera plus tard
- Conformément à l’article 5 l’accord entre la Grèce et l’Allemagne avait effet rétroactif.
Sous prétexte que pendant 45 ans elle était divisée en deux parties, orientale et occidentale, l’Allemagne n’a pas remboursé sa dette à la Grèce.
En 1990 s’est effectuée la réunification, cependant grâce à un artifice ingénieux l’Allemagne a réussi à éviter le remboursement du prêt sous l’Occupation.
Ensuite, elle a prétendu qu’elle avait acquitté sa dette envers la Grèce quand elle a donné 115 millions d’euros (cette somme aurait été dérisoire même s’il s’était agi seulement du massacre de Distomo !) le 21 septembre 1961.
Plus tard, en novembre 1995, la Grèce a demandé à ce que soit acquittée la dette, par le biais d’une notification verbale. L’Allemagne cependant rejette fermement cette demande, alléguant que l’emprunt s’insère dans l’accord de Londres, et elle a répondu avec aplomb que les Grecs ne sont pas en droit d’avoir de telles exigences après 50 ans écoulés.
L’Allemagne, suivant la proposition des Américains pour l’acquittement de la dette, a demandé de nous payer en nature. Elle nous a donné 38 navires, qui avant de faire partie de nos biens étaient amarrés dans le port d’Hambourg depuis quatre ans, leur structure étant d’une technologie périmée.
Finalement, ces biens « rouillés » qu’ils nous avaient octroyés ont été vendus comme de la ferraille, et naturellement ne constituaient même pas une infime partie de l’acquittement des dettes.
Grèce : le seul pays qui n’a pas été dédommagé
La Grèce est le seul pays qui jusqu’à aujourd’hui n’a reçu absolument aucun dédommagement pour les pertes humaines et matérielles occasionnées par les troupes d’occupation. Tantôt les procédures sont restées en suspens, tantôt le gouvernement s’en est complètement désintéressé.
Le gouvernement grec peut à tout instant demander l’acquittement de la dette qui enfle.
Si le gouvernement allemand refuse à nouveau de verser la somme due, la Grèce pourrait avoir recours aux tribunaux internationaux, où son droit serait reconnu à l’unanimité.
Cependant aucun parti au pouvoir n’a revendiqué, de la façon la plus rapide, la plus facile et la plus sûre, nos droits légitimes.
La Grèce depuis 1945 à Paris a dissocié le prêt sous l’Occupation des réparations et des dédommagements de guerre et a demandé sa restitution. En 1964 le professeur A. Angelopoulos, en tant que représentant du gouvernement, a pris part aux premiers contacts avec les Allemands pour qu’ils nous restituent le prêt qu’ils avaient contracté auprès de la banque de Grèce en nous pointant le revolver sur la tempe.
En 1965 c’est le regretté Andréas Papandréou qui a pris la parole, et ses efforts sont restés infructueux, tandis qu ‘en 1966, pendant les entretiens entre Grecs et Allemands qui ont eu lieu alors, il y a eu quelques discussions, elles aussi sans résultat.
Alors l’Allemagne a prétendu que Constantin Karamanlis avait signé une déclaration comme quoi il renonçait à demander que les Allemands s’acquittent de la dette comme ils le devaient. Le petit jeu des Allemands a continué quand ils ont allégué la renonciation du premier ministre.
Il y a eu enquête pour trouver le document en question, et comme il n’a pas été trouvé, en 1967 l’Allemagne a reconnu que le premier ministre de notre pays n’avait jamais renoncé aux droits du prêt.
Dans l’opposition, en 1975 le professeur Xénophon Zolotas a relancé le sujet du prêt. Environ 26 années après, celui qui était alors ministre des affaires étrangères Antonis Samaras a évoqué ce sujet devant son homologue allemand, et le 14 novembre 1995 il l’a évoqué par une notification orale.
Hitler reconnaissait l’emprunt
Le professeur d’histoire de l’université d’Athènes, d’origine allemande, Hanken Flaiser, écrit que même Hitler a eu honte de réfuter ce prêt :
« Dans le protocole confidentiel germano-italien de Rome, ainsi que dans les accords tripartites suivants, avait été convenu l’acquittement des sommes qui avaient été perçues en plus des versements réguliers mensuels qui devaient être déboursés – c’est-à-dire de ceux justifiables en accord avec le droit international - des frais en tant que tels de l’occupation : « Ces sommes seront facturées par la banque de Grèce aux gouvernements allemand et italien dans de nouveaux comptes à ouvrir sans intérêt, en drachmes, proportionnellement aux sommes perçues par chacune des deux armées d’occupation.
Par conséquent, pour l’acquittement de ce «prêt » - même avec quelque réticence dans la formulation – les deux puissances d’occupation, par l’intermédiaire de hauts dignitaires des deux ministères des affaires étrangères, s’étaient engagées formellement envers l’administration grecque.
La partie allemande reconnaissait même cette obligation non seulement par des notes de service internes et leur terminologie particulière, mais aussi en faits, du moment que dès 1943 elle a commencé (parallèlement à la perception de nouvelles sommes empruntées) l’acquittement des dettes les plus anciennes en versements mensuels.
Le dernier de ceux-là, d’un montant de 300 milliards de drachmes (dévaluées par l’inflation !), a été versé six jours avant que la Wehrmacht ne se retire d’Athènes.
Un mois avant l’écroulement définitif du troisième Reich, l’état major économique de l’ambassade allemande à Athènes a remis au directeur de la banque publique (Reichsbank) un dernier rapport très volumineux, avec notification destinée au ministre des affaires étrangères allemand (et à Ch. Neubacher, dignitaire s’occupant de l’Europe de l’est et du sud), rapport dans lequel il précisait que le « prêt » constituait une « dette politique envers le gouvernement grec ».
Pour fixer le montant de « la dette allemande envers la Grèce » (« Reichsverschuldung gegenuber Griechenland »), les rédacteurs ont fourni des efforts méritoires et finalement – à coup sûr ils n’avaient pas l’intention de léser l’Allemagne – ils ont calculé que sa somme était de 476 millions de marks allemands, avec une valeur actuelle dépassant les 5.000.000.000 d’euros, sans les intérêts évidemment. Du côté grec circulent des estimations bien plus élevées.
Étant donné que le rapport des experts allemands a été rédigé « pour un usage ultérieur », il pourrait constituer la base de négociations entre Grecs et Allemands.
Que soit donc mis un terme à cette situation absurde, qui est marquée par le fait que les représentants officiels du Reich nazi ont reconnu dans les faits la dette allemande en question, dette sur laquelle le régime démocratique qui a succédé à la République Démocratique Fédérale garde jusqu’à aujourd’hui un silence de mort : il ne réceptionne pas les documents qui la concernent, alléguant une clause dans une ancienne «convention germano-hellénique au sujet d’une conception judiciaire mutuelle» sous les régimes d’Hitler et de Metaxas.
LES PRÊTS
1941
mois |
sommes en drachmes versées aux Allemands |
sommes en drachmes versées aux Italiens |
total |
août |
2.467.200 |
1.500.000 |
3.967.200 |
septembre |
3.393.600 |
1.500.000 |
4.893.600 |
octobre |
2.052.000 |
500.000 |
2.552.000 |
novembre |
925.400 |
750.000 |
1.675.400 |
décembre |
3.602.900 |
3.340.000 |
6.942.900 |
1942
mois |
sommes en drachmes versées aux Allemands |
sommes en drachmes versées aux Italiens |
total |
janvier |
4.396.000 |
1.030.000 |
5.426.000 |
février |
4.589.000 |
1.200.000 |
5.789.000 |
mars |
5.430.000 |
1.300.000 |
6.730.000 |
avril |
6.705.000 |
1.750.000 |
8.455.000 |
mai |
12.500.000 |
1.750.000 |
14.250.000 |
juin |
14.720.000 |
5.050.000 |
19.770.000 |
juillet |
15.750.000 |
2.969.000 |
18.719.000 |
août |
20.750.000 |
5.183.100 |
25.913.100 |
septembre |
16.007.500 |
6.166.700 |
23.074.200 |
octobre |
14.091.700 |
8.047.800 |
22.139.500 |
novembre |
4.750.000 |
5.134.500 |
9.884.500 |
décembre |
13.750.000 |
11.001.600 |
24.751.600 |
1943
mois |
sommes en drachmes versées aux Allemands |
sommes en drachmes versées aux Italiens |
total |
janvier |
20.000.000 |
14.000.000 |
34.000.000 |
février |
20.000.000 |
12.500.000 |
32.500.000 |
mars |
12.000.000 |
8.000.000 |
20.000.000 |
Manolis Glezos :
Les Allemands nous doivent 1.500 milliards d’euros pour les dédommagements.
Que la Grèce revendique des dédommagements que lui doit l’administration allemande, c’est une question de volonté politique, a affirmé, entre autres, Manolis Glezos.
Il a signalé également que les Allemands implicitement « avouent » qu’ils sont nos débiteurs, la preuve en est que dans le Mémorandum est entrée une stipulation qui prévoit que le nouveau prêt ne doit pas être calculé en même temps que d’autres prétentions de la Grèce.
Comme autre preuve il a mentionné que l’Allemagne n’a pas signé de traité de paix avec la Grèce, parce qu’avec la signature de ce traité les tribunaux internationaux engagent automatiquement la procédure des dédommagements.
En estimant les dédommagements, le prêt sous l’Occupation et le dommage qu’a subi l’économie grecque tout au cours de cette période, et en additionnant tout cela, Manolis Glezos a dit que la somme s’élève à 1.500 milliards d’euros."
Après cela dîtes-nous si la négation des dettes allemandes ne s'apparente pas au négationisme se la shoah ou du massacre des tziganes ou du génocide arménien...
γεια μας
και για την ειρήνη
είναι η αρχή
ο αγώνας συνεχίζει !
pour la culture:
www.desmos-grece.com
ça peut vous aider à retrouver la "sérénitude"
ΕΛΛΑΣΥΡΙΖΑ tandis que France s'handballa.
αυτή τη μουσιχή συνεδεύει το διάβασμα σας
Pour accompagner votre lecture:
http://youtu.be/3hf2dAUljzw?list=PLFDC7B0B2F539B596
- Jolie cravate! comment ça se noue? -COMME CA !
"σόι μπλε" veut l'étrangler pour lui fermer la bouche
mais il reçoit au cul un bon coup de tsarouche
Ne soyez donc pas étonnés de voir
"αγραβάτωτοι"
αλεξις τσιπρας και γιαννις βαρουφακης
?
les voilà de dos, si vous préférez.
Te voici Alexis aux portes de l'Histoire
Sans quitter l'objectif: le bonheur de ton peuple
Inspire toi des Anciens et de leur grand courage
Puise dans le passé les idées des grands sages
Rassembleurs des hommes sans tromperie sans leurre
Avec les Camarades qui croient si fort en toi
Suis la voie juste et droite qui mène à ton destin
Mais, tous, nous le savons : la tache est rude
à l'intérieur où la misère est grande
-NEIGE, FROID, PLUIES,GEL, INNONDATIONS, TEMPÊTES, NEGOCIATIONS !
NOUS SOMMES EN CHARGE DU CHAOS !
à l'écran Varoufakis et"σόι μπλε"
Elle (la hache du chomage dans le crâne): Finalement qui a gagné?
Lui (l'épée des carges dans le dos): La dignité
et à l'étranger avec tant de barbares plus ou moins fourbes à convaincre
parfois en les rudoyant un peu
parfois en les prenant par la douceur
La fraü
et le débutant
ce qui exige beaucoup d'abnégation parce que
BOUDIN BOUDANT
Il est temps pour vous, peut-être, de découvrir un peu mieux la Gauche Grecque :
Alexis Tsipras a prononcé son discours de politique générale devant le Parlement et nombreux sont ceux qui, "Cassandres geignardes" prédisaient l’amorce d’un retrait, voire d’une soumission de la Grèce aux diktats de la troïka
Il n’en a rien été. Tsipras n’a fait aucune concession de fond.
Certes, il a évité d’utiliser le terme «annulation» à propos de la dette grecque. Mais il a insisté sur son caractère non viable et revendiqué sa «diminution» et sa «restructuration». De même, si le smic n’est pas relevé immédiatement à son niveau de 2009 (751 euros, contre 480 euros aujourd’hui), il s’est engagé à le faire courant 2015.
Pour le reste, il a repris le «programme de Thessalonique»:
-mesures d’urgence pour les plus démunis (aide alimentaire, rétablissement du courant électrique, gratuité des transports, couverture médicale),
-restauration de la législation du travail (notamment les conventions collectives, rendues facultatives à la demande de la troïka),
-suppression des taxes injustes sur le foncier,
-réforme fiscale pour faire payer les riches,
-relèvement du seuil d’imposition à 12.000 euros,
-réintégration des fonctionnaires licenciés,
-abolition des privilèges accordés aux médias privés,
-reconstitution de l’ERT (audiovisuel public),
-coup d’arrêt aux privatisations,
-fin de la répression policière contre les mobilisations populaires.
Afin de financer ce programme, Alexis TSIPRAS a confirmé son renoncement au «programme d’assistance» mis en place par la troïka et demandé une extension de la liquidité accordée aux banques grecques – qu’il a mise en regard des profits engrangés par les banques centrales de la zone euro sur la dette grecque.
Il a insisté sur la nécessité d’un budget équilibré mais refusé que tous les excédents primaires soient réservés au remboursement ad vitam aeternam de la dette. Comme il semble exclu que les dirigeants européens tolèrent ne fût-ce qu’une partie de ce programme de travail, on se trouve donc bien dans une logique de confrontation.
La fin de non-recevoir des dirigeants européens à depuis deux semaines et la décision de la BCE de fermer l’un des robinets qui alimentent les banques grecques en liquidités ont révélé la nature véritable des institutions européennes: elles sont là pour imposer des politiques d’austérité sans tenir compte des mandats démocratiques des gouvernements élus.
Tsipras a répété que la souveraineté nationale et démocratique et la dignité du peuple grec ne sont pas négociables. Enfin, il a remis sur le tapis le remboursement du prêt imposé à la Grèce par l’occupant nazi et jamais remboursé par l’Allemagne! *
Manolis Glézos, 92 ans, se voit confier la tête de la délégation chargée de porter cette revendication. Une figure mythique en Grèce: ce jeune patriote était parvenu en mai 1941 à dérober le drapeau à croix gammée qui flottait sur l’Acropole. Ce fut le premier acte de résistance en Grèce.
Autant de déclarations qui sont un véritable appel à la mobilisation populaire. Nous sommes peut-être à la veille d’événements importants qui vont changer le cours des choses en Grèce et en Europe.
Syriza est le fruit d’un processus de recomposition de l’espace politique à gauche de la social-démocratie, processus engagé à partir des années 1970. La singularité de la Grèce est que cette «gauche rouge», issue du communisme, est toujours restée puissante, si bien qu’une dynamique a pu naître, qui a abouti à la victoire du 25 janvier.
Tout s’est joué dans la séparation progressive du Parti communiste historique en deux branches. D’un côté, une branche stalinienne, qui existe toujours sous le nom de KKE (5,5% des suffrages au dernier scrutin) et qui est très hostile à l’expérience en cours. De l’autre, une branche hétérodoxe qui, après avoir rompu avec le moule soviétique, a donné naissance en 2004 à Syriza et su attirer autour d’elle d’autres forces de gauche: d’abord certaines formations d’extrême gauche ; puis les altermondialistes, les féministes, les écologistes ; et plus récemment les déçus du Pasok (Parti socialiste) et les citoyens venus à la politique avec la crise de la dette.
Ailleurs en Europe, les ex-communistes ont perdu l’essentiel de leur influence. En Grèce, au contraire, ils forment l’ossature du nouveau parti.
En Grèce, les communistes ont été au premier rang de la lutte populaire contre le régime des colonels, notamment avec le soulèvement des étudiants de l’Ecole polytechnique d’Athènes en 1973, dont la répression sanglante a précipité la chute de la dictature. Lors du retour de la démocratie l’année suivante, ils jouissaient d’un prestige immense et, chaque année, de grands défilés honorent la mémoire de la révolte étudiante.
Aux élections, la gauche communiste s’est toujours maintenue dans une fourchette allant de 8 à 15%. C’est à l’intérieur de ce bloc que les chemins se sont séparés, entre le KKE, qui s’est enfermé dans une logique sectaire et stalinienne, et les hétérodoxes. Un point important est que ces hétérodoxes, à la différence des communistes français par exemple, ont refusé l’alliance mortelle avec le Pasok. Ni dérive sectaire ni transformation en forces d’appoint: c’est en tenant cette ligne que Syriza est devenu une alternative crédible.
Durant toute cette période, le PASOK a évolué. On le compare souvent au PS françaismais il faudrait plutôt le comparer au PRI mexicain, tant le Pasok s’est profondément installé dans l’Etat grec. Or celui-ci diverge du modèle européen occidental. Issu d’une victoire militaire – celle de la guerre civile en 1949 –, c’est un pouvoir qui redistribue par prébendes et réseaux clientélistes.
La dépense publique est longtemps restée très faible et c’est seulement dans les années 1980 que le Pasok a mis en place un véritable système de santé et de retraites, ce qui explique la popularité dont il a joui longtemps. Mais sans augmenter les impôts pour financer ce début d’Etat social. C’est ainsi que la dette a commencé à enfler.
A partir de 1996, Simitis, le «Rocard grec», libéralise le système financier. Tout le monde se met à jouer en Bourse, l’immobilier s’envole et les Jeux Olympiques de 2004 marquent l’apothéose de cet enrichissement artificiel. Afin de qualifier la Grèce pour l’euro, le même Simitis maquille les comptes publics, avec, déjà, l’aide de Goldman Sachs. C’était l’âge d’or de la mondialisation financière… mais aussi du mouvement altermondialiste !
Syriza a su se nourrir de la contestation altermondialiste et cette capacité à se laisser imprégner par les nouveaux mouvements sociaux a été un élément déterminant de la dynamique qui a conduit à la victoire. Par exemple, depuis 2010, des réseaux de solidarité informelle se sont créés (dispensaires sociaux, réseaux d’entraide), formant un vivier de militants dont une partie a rejoint Syriza.
En Grèce, adhérer à un parti, ou le soutenir, reste un geste assez naturel. Tout comme le vote: le taux de participation aux élections universitaires est de 70% ! Même une partie des anarchistes, très actifs dans les réseaux de solidarité, soutient Syriza. A Exarchia, le quartier «anar» d’Athènes, Syriza a fait un carton.
Et la coalition contestataire se transforma en parti de gouvernement.
Tout bascule avec l’occupation de la place Syntagma au printemps 2011. Des pans entiers de la société ont vu leur monde s’effondrer. Ce mouvement avait un aspect «plébéien», avec des ouvriers, des salariés, des membres des classes moyennes frappées par la crise. Syriza s’est mis à l’écoute du mouvement sans essayer de le manipuler, mais en proposant un débouché politique.
L’analyse des résultats du 25 janvier montre que le parti a considérablement élargi son implantation, dans les zones rurales comme dans les quartiers ouvriers. En Crète, il déloge le Pasok. Dans la 2e circonscription du Pirée, où les dockers votaient KKE depuis toujours, celui-ci est tombé à 8% et Syriza a fait 42%. A contrario, à Kolonaki, le quartier branché d’Athènes, et dans la banlieue bourgeoise, on assiste à une poussée de la droite. Syriza n’est pas le parti des bobos !
L’alliance avec le parti nationaliste des Grecs indépendants (Anel), connu pour ses positions xénophobes et ses liens avec l’Eglise orthodoxe, peut inquiéter certains, mais Alexis a répondu à cette inquiétude dimanche en annonçant l’octroi de la citoyenneté à tous les enfants d’immigrés nés en Grèce. Il a insisté sur la mission du nouveau ministère de l’Immigration, qui devra protéger les droits humains et la dignité des personnes. Preuve, s’il en fallait, que la participation de l’Anel au gouvernement n’a modifié en rien nos positions sur ces questions.
En cas d’échec de la négociation avec l’Europe, AlexisTsipras pourrait être tenté de demander des lignes de crédit à la Russie, ou à la Chine .
Si les crédits européens devaient être brutalement interrompus, il n’aurait pas d’autre choix que de se tourner vers des sources alternatives de financement. En Grèce, la Russie est perçue comme un pays ami à droite comme à gauche. Syriza n’a aucune affinité idéologique avec le régime de Poutine, qui n’est certes pas une grande démocratie. Mais il y a bien pire sur la planète ! Par exemple les pays du Golfe, qui financent le terrorisme et décapitent les femmes en public: pourtant, les gouvernements occidentaux se bousculent pour faire des affaires avec eux.
Face à un refus de l’Europe,
* au sujet des crimes nazis en Grèce. j'ACCUSE Dominique Seux de NEGATIONISME ! Au cours de son intervention dans le 7/9 de France Inter, il a dit que, 70 ans après les faits, il fallait oublier les crimes commis en Grèce par les nazis; et qu'il n'y avait donc plus de "réparations" à réclamer au Allemands. De tels propos sont inacceptables et doivent être dénoncés! Ce Seux dirait-il aussi qu'il faut oublier Shoah ?
Céder serait un acte suicidaire, qui conduirait à un effondrement de
* au sujet des crimes nazis en Grèce. j'ACCUSE Dominique Seux de NEGATIONISME ! Au cours de son intervention dans le 7/9 de France Inter, il a dit que, 70 ans après les faits, il fallait oublier les crimes commis en Grèce par les nazis; et qu'il n'y avait donc plus de "réparations" à réclamer au Allemands. De tels propos sont inacceptables et doivent être dénoncés! Ce Seux dirait-il aussi qu'il faut oublier Shoah ?
μοποποπομοποποπομοποποπομοποποπο
Tandis que Grèce "retrouve sa dignité", France s'handballe
mopopoposport QATAR 22 FRANCE 25 !
les emballeurs, c'est pesé, ont vengé CHARLIE !
Retour en Hollandie et sa « macronéconomie »...
Macron, sa loi va-t-elle assez loin ? Pourrait-elle mieux faire ?
En fait-elle trop, au contraire ? Est-elle socialiste ? Libérale ?
Favorisera-t-elle, la croissance ? Aidera-t-elle, à la reprise ?
Bref ! Aura-t-elle un effet bénéfique globalement bon
pour l'économie nationale ? Ah ! là ! ça chauffe ! Ohé !
Les patrons ! Aidez-moi à tirer les marrons !...
Macron, en effet, l'a déclaré publiquement : cette loi est faite
pour faire croître le nombre de milliardaires en France.
La messe est dite. Le reste c’est laïus !
Qu’est-ce qu’on est bien dans la Grèce d’Alexis !!!
N'est-il pas temps à présent que Valentin le ré-ossé (bonne fête !)
nous apporte un peu d'apaisement ?
ZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZVIEZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ
ZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ
ZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZVIDEZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ
ZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZINTENSEZZ
ZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ
ZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZPLENITUDEZZZZZZZZ
Ce qui peut être traduit en grec:
ΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΖΩΗΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩ ΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩ
ΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΚΕΝΗΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩ
ΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΕΝΤΟΝΗΩΩ
ΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩ
ΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΩΠΛΗΡΟΤΗΤΑΩΩΩΩΩΩΩ
ΩΩΩΩΩΩΟΥΖΟΩΩΩΩΩΩ
ça peut vous aider à retrouver la "sérénitude"
la Grèce avance... Προχωρεί η Έλλαδα !
des mots sortent du coeur plutôt que de la bouche
le poUète les disperse à grands coups de tsarouches
un peu de musique pour accompagner la suite ?
http://youtu.be/_o7Mif2DbZ4
les Grecs ont souvent un certain gout pour les airs martiaux...
Les Europins malades de la dette
λε διφ en étrοite collaboration avec ΖΑΝ ΝΤΕ ΛΑ ΦΟΝΤΑΙΝΕ
Un mal qui répand la terreur,
Mal que Finance en sa fureur
Inventa pour piller le richesses de la terre,
La Dette (puisqu'il faut l'appeler par son nom)
Capable d'enrichir même le roi des cons,
Faisait aux Europins la guerre.
Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés :
A la mort programmée ils étaient condamnés
On leur avait coupé toute ligne de crédit ;
Et même de faire l’amour ils n’avaient plus envie ;
Les bourses plates ils débandaient
le sexe sec ils restaient cois
Cousins cousines se fuyaient :
Plus de baise, partant plus de joie.
La Lionne, con gelé, rugit : « Damen Herren*
Voyez ce qui se passe : Le veau d’Or a la haine
Pour nos péchés il nous punit !
Que le plus coupable de nous
Se sacrifie aux traits de son bovin courroux,
Peut-être il obtiendra que nous soyons guéris.
Ne nous flattons donc point ; voyons sans indulgence
L'état de notre conscience.
Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons
J'ai dévoré moult biftons.
Que m'avaient-ils fait ? Nulle offense :
Même il m'est arrivé une fois de niquer
un banquier !
-et courtisans de rire,
on est en plein délire-
Je me dévouerai donc, s'il le faut ; mais je pense
Qu'il est bon que chacun s'accuse, foi d’Angela !
Car on doit souhaiter selon toute justice
Que le plus coupable périsse.
- Chérie, dit un Nolande, tu es trop bonne là;
Tu as droit de glisser entre tes grasses fesses
Des billets bien roulés, des euros en espèce,
Est-ce un péché ? Non, non. Tu leur as fait « mein heu… »
les avalant, euros heureux.
Et quant au Banquier on peut rire:
Il était dingue à tous taux,
Etant de ces gens-là qui avec dix euros
Se font un chimérique empire."
Ainsi dit le Nolande, et droitiers d'applaudir.
On n'osa trop approfondir
Du Velge Luxemvourgeois, ni des autres puissances,
Les moins pardonnables offenses.
Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins,
Au dire de chacun, étaient de petits saints.
L'Ane grec vient à son tour et dit : « J'ai souvenance
Qu'en un pré de popes passant,
La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et je pense
Quelque diable aussi me poussant,
Je tondis de ce pré la largeur de ma langue.
Je n'en avais nul droit, ne pouvant pas payer. »
A ces mots on cria haro sur le baudet.
Un Loup à la « σόι μπλε** » prouva par sa harangue
Qu'il fallait condamner ce maudit animal,
Ce pédé tout pelé, d'où venait tout leur mal.
Sa peccadille fut jugée un cas pendable.
Griveler l’herbe ! Quel crime abominable !
Pétédèt ! Pétédèt !*** criaillait une caille
Coupons lui donc la tête ! Faut pas faire de détail !
Rien que la mort n'était capable
D'expier son forfait : on le lui fit bien voir.
Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements brussellois vous rendront blanc ou noir.
ΛΑ ΦΟΝΤΑΙΝΕ και ΛΕ ΔΙΦ
*cette lionne est teutone de glace
**en français: « soie bleue » en allemand: « schaüble »
en tirant un peu les cheveux.
***cadeau du grand mopopopoUète hongrois Sandor PETOFI (1823-1849)
Humour ευροπιν : "la CERISE sur le gâteau"
mais le gâteau, Camarade, est plutôt avarié
les morfalous du nord ne sont pas partageux
ils vont d'abord baffrer puis te laisseront des miettes
et payer l'addition
au banquet des Nations.
La peur a changé de camp
par Alexis Tsipras
Les lèvres serrées se sont transformées en poings serrés.
Et c’est un sentiment unique
quand le peuple se met debout.
C’est un sentiment unique
quand la peur s’en va et que vient l’espoir.
Viennent la dignité, la justice, la démocratie.
La Grèce est enfin prête
pour le grand pas vers le lendemain.
La Grèce, tourmentée et humiliée
par les mémorandums, lève la tête
et se tient à nouveau sur ses jambes.
La Grèce avance.
Et avec elle, l’Europe change.
Alexis Tsipras
Mais que relèvent les "occidentaux" ?
Que Οι Αγραβάτωτοι, les Sans Cravates, sont arrivés au pouvoir
voilà ce qui fait courant d'air maintenant dans les couloirs
passent les jours viennent les peines mais toujours Alexis sourit
-Serrez vos ceintures, nous atterrissons!
-Non, non, non! le Peuple Grec ne se serre pas la ceinture et n'atterrit pas.
la piste de la "réalité" n'est en effet guère acceuillante.
-Et toi papa tu es avec les "cravates"
ou avec les autres ?
-Avec les cravates ! ça ne se voit pas parce que
c'est sous l'écharpe que je porte à cause du temps! -La résistance commence !
Demain l’Europe « sans cravate » !
Fini l’étranglement des Peuples !
Aujourd'hui la Grèce
demain l'Espagne, le Portugal
une épidémie de Liberté,
de Solidarité et de Justice sociale
se propage.
Une chance pour l‘Europe
...de nos enfants !
Pour nous il est trop tard
nous n'avons pas su
R é S I S T E R
égoïstes nous nous contentions D'EXISTER.
Alors sont arrivés des débraillés
et la Terre s'est mise à trembler.
Oh! rien n'est jamais acquis c'est sûr
mais ces αγραβάτωτοι nous ont libérés de la peur,
au Peuple ils ont redonné le courage et l'envie de chanter http://youtu.be/Aw4PENqjgTI
de chanter et de ré-enchanter leur vie, persuadés à présent que leurs efforts ne finiront pas dans les bourses rebondies de spéculateurs gloutons. Alexis, Yannis et leur bande ré-animent toute une société et le poUète de nouveau "se lève, et veut de la place aussi pour danser au bord de l'eau. Que les tempes s'ouvrent enfin, que s'ouvrent les trappes de l'esprit , et que le monde prenne l'air! Eh vous, les paysans, fourmis le dos courbé sous une granule de blé, je jette un coquelicot rouge et la prairie va prendre feu ! Vous, filles qui gardez des colombes sauvages dans la fraicheur de votre sein, et vous les jeunes gens, poignards à la ceinture, vous avez beau vous battre, la terre reste un arbre sec, tandis que moi, avec mon chant, je lui ferai porter ses fleurs !..."
Tel un vrai pallicare, il fait face, Alexis !
Suivant ainsi l'exemple de son vieux Manolis*.
Interloqués Merkel Hollande et Obama
Plaignent le "sans-cravate" qui a sa bourse à plat.
"Ratisse donc tes nantis !" lui disent-ils d'une seule voix.
"Apprenez-moi comment me résoudre à ce choix...
Si vous aviez su faire vous seriez tous des rois."
*Glezos Manolis
à 20ans il arrachait le drapeau
que les nazis avaient planté au sommet de l'Acropole
à 90ans il veut faire payer aux Allemands
la dette qu'ils ont envers la Grèce
et que JUSTICE SOIT FAITE
Teutonne criminelle qui, la scie à la main,
Sabote le pauvre pont qu'Alexis veut construire !
Il n'est pas à ton gout ce si charmant gamin ?
Plutôt que le tuer il vaudrait mieux l'instruire:
Revise son programme qui est si généreux.
Apprends lui que le Peuple doit être malheureux
Sauf qu'il lui faut tirer le diable par la queue
Va courageux Yannis affronter cette mer
de glace*
Roule pour la fondre une pelle en sa gorge
dégeulasse
Facilite-toi la chose en pensant à tes fans
à Syntagma
Qui se réchauffent en chantant pour braver
le frimas
ΣΗΜΕΡΑ ΟΠΩς ΧΘΕς ΗΜΑΣΤΕ ΜΕ ΤΟΥΣ ΦΙΛΟΥΣ ΤΟΥ
ΚΑΙ ΘΑ ΜΕΝΟΥΜΕ ΕΤΣΙ ΟΣΟ ΘΑ ΠΑΛΕΥΕΙ ΓΙΑ ΜΙΑ ΚΑΛΥΤΕΡΗ ΖΩΗ λ.τ.
ο αγώνας συνεχίζει !
pour aider la Grèce
achetez GREC !
γεια σας !
Η νεα Ελλαδα La Nouvelle Grèce
c'est une page d'histoire qui a été tournée
pour marcher ΣΥΡΙΖΑ nous chaussons nos tsarouches
η αδελφοσύνη fleurit à notre bouche
nous ne voulons qu'un monde avec plus d'équité
petit dithyrambe pour A.T.
Ainsi voici enfin ce fameux pallicare
Levant son peuple fier pour contrer des Barbares
Extrémiste en courage et dépourvu d’an-
Xiété, brave il se bat pour le pain et le chant
Irradiant toute l’Europe de son sourire d’enfant
Suivons tous ce héros, pleins de joie, en chantant !
montage de notre chère Karine Villard
Tant à le voir marcher avec un tel courage,
Songeant à Manolis* au si noble visage,
Ils sont autour de lui deux, trois, et mille et cent
Parcourant le pays pour conforter les gens
Reconstruire une Europe solidaire généreuse
Ambition raisonnable : un peu plus d’équité !
Sur tous les Grecs enfin un peu plus de bonté !
*Manolis GLEZOS
Τι ελπίδα
σας βεβαίωνω !
"on -qui n'est qu'"on"-disait:
"ces groupuscules de gauche extrème ne pourront pas co-habiter!"
ces "groupuscules" font mieux: à présent, ils copulent
onkinèkon disait:
"ils sont incapables de gouverner ils n'ont aucun programme!"
non seulement ils ont un programme, mais encore ils sont visionnaires
-un peu de musique http://youtu.be/_o7Mif2DbZ4 pour accompagner la lecture
CADRE DE
PROGRAMME GOUVERNEMENTAL
Nous ne promettons pas.
Nous nous engageons.
Et nous n’avons ni l’intention ni la possibilité de vous tromper.
De soustraire aujourd’hui votre vote et l’utiliser après les élections comme chèque en blanc. Et nous n’avons pas la possibilité de vous tromper parce que SYRIZA c’est vous.
Et vous êtes notre unique soutien.
Nous ne nous appuyons ni sur des entrepreneurs ni sur des banquiers ni sur des propriétaires de médias.
Nous nous appuyons sur vous.
Ni sur l’oligarchie, ni sur les grandes familles.
Sur le peuple souverain.
Sur votre confiance.
Sur votre appui quotidien et constant.
Sur l’appui de votre gouvernement.
Du gouvernement de SYRIZA.
C’est pourquoi, pour nous, la majorité parlementaire ne signifie ni irresponsabilité ni arrogance, comme c’était, par le passé, la pratique des gouvernements de la Nouvelle Démocratie et du PASOK. Cela signifie encore plus d’engagement. Cela signifie responsabilité.
Alexis Tsipras. Agrinio 17/01/2015
1. RENEGOCIATION DES CONTRATS DE PRETS ET DE LA DETTE
Avec pour objectifs :
L’annulation de la majeure partie de la valeur nominale de la dette publique, de sorte qu’elle devienne viable, dans le contexte d’une « Conférence sur la Dette Européenne ». Cela s’est produit pour l’Allemagne à 1953. Que cela se répète pour la Grèce, en 2015.
L’instauration d’une « clause de croissance » dans le remboursement de la part restante de la dette, de façon à ce qu’il soit financé par la croissance et non par le budget.
Que soit accordé un délai de grâce, c’est-à-dire un «moratorium» pour son paiement et ainsi économiser des ressources pour la croissance et la relance de l’Economie.
L’exclusion de l’investissement public des restrictions prévues par le Pacte de Croissance et de Stabilité pour une période précise.
L’accord pour un « New Deal Européen » d’investissements publics pour la croissance.
L’obtention d’un assouplissement quantitatif de la part de la Banque Centrale Européenne.
2. PLAN NATIONAL DE RECONSTRUCTION IMMEDIATE
A. Lutte immédiate contre la crise humanitaire et soutien des petits retraités
1. Electricité gratuite pour au moins 300.000 foyers pauvres.
2. Tickets-repas pour celles et ceux qui en ont besoin.
3. Programme d’accès au logement.
4. Prime de Noël en tant que 13ème mois, à des retraités de moins de 700 euros.
5. Soins médicaux et pharmaceutiques gratuits – Diminution de la participation de l’assuré au prix du médicament.
6. Carte spéciale de transport.
7. Annulation de l’impôt spécial sur le fuel domestique.
B. Des mesures immédiates pour le redémarrage de l’économie et la reconquête de l’emploi.
(But : le soutien des petites et des moyennes entreprises, ainsi que l’accroissement des recettes publiques).
1. Réglementation favorable aux citoyens pour le remboursement de leurs dettes envers l’Etat.
- Institution de commissions régionales spéciales de règlement extrajudiciaire des dettes, en faveur des citoyens, qui faciliterait les recettes publiques et celles des caisses d’assurance.
- Les versements ne dépasseront pas le 30% du revenu annuel du débiteur.
- A tous ceux qui seront admis au programme, sera accordé automatiquement, par les services fiscaux et les assurances sociales, licence pour l’exercice de leurs activités professionnelles.
- Il sera donné immédiatement fin aux saisies-confiscations et aux poursuites pénales pour tous ceux qui s’intégreront au programme et suspension de paiement pour ceux qui n’ont aucun revenu.
- Est abrogé le flagrant délit pour dettes à l’état.
2. Régulation des créances bancaires précaires par l’application du programme de «ΝΕΑΣΕΙΣΑΧΘΕΙΑ»
- Institution d’un organisme public de gestion de la dette privée, gestionnaire de tous types d’arriérés auprès des banques et contrôleur de celles-ci en ce qui concerne l’application des modalités adoptées. Nous l’instituons pour assurer un traitement égal et juste de tous les emprunteurs.
- Pour les entreprises surendettées nous matérialisons une solution d’application urgente qui sauvegardera l’emploi et visera à la continuité de leur fonctionnement, pour éviter la concentration oligopolistique du marché.
- Nous interdisons les rachats des créances en souffrance par des fonds internationaux qui ont pour but la spéculation sur le dos des citoyens grecs et de l’Economie grecque.
3. Sera aboli l’impôt-guillotine, l’ENFIA (Impôt Unifié sur la Propriété Immobilière). Et sera institué l’impôt, socialement équitable, sur la grande fortune immobilière.
Cet impôt aura un échelonnement progressif et son seuil d’exception sera élevé. Il ne concernera pas la résidence principale à l’exception des résidences de très grand luxe. Il ne concernera pas la petite et moyenne propriété.
4. Nous protégeons la résidence principale des saisies-ventes aux enchères.
5. Seuil de revenu annuel non imposé : 12.000 euros pour tous/toutes.
6. Reconquête de l’emploi, ayant pour but le soutien des travailleurs et le renforcement de leur pouvoir de négociation.
a. Rétablissement du salaire mensuel minimum à 751 euros, pour tous/toutes.
b. Réinstauration des conventions collectives du travail et rétablissement de la prolongation de validité de celles-ci, validité face à tous les employeurs, validité des avantages salariaux acquis et retour de l’arbitrage.
c. Abolition de la réglementation autorisant les licenciements collectifs.
d. Programme National, biennal, pour la création de 300.000 emplois dans tous les secteurs le l’Economie, privé, public et social.
C. Reconstruction institutionnelle et démocratique de l’Etat.
SYRIZA n’est pas responsable du népotisme et du clientélisme d’Etat qui ont été installés par les partis qui ont gouverné et détruit le pays. Nous avons connaissance des pathogénies de l’administration publique ! Mais nous insistons sur le fait que les gouvernements des mémorandums n’ont en rien entrepris de les éliminer. Au contraire, l’administration publique grecque est au seuil de l’effondrement. Nous appliquons un plan achevé de reformes démocratiques et de rationalisation de l’administration publique, de l’Etat et du système politique.
1. Nous changeons la structure du Gouvernement.
- Nous changeons la structure du Gouvernement pour une meilleure planification, coordination et matérialisation de la restructuration du pays.
- Au gouvernement de SYRIZA le conseil des ministres ne sera pas décoratif mais un puissant instrument collectif de planification politique et de coordination.
- Nous supprimons les nombreuses institutions gouvernementales qui agissent en pépinières de corruption et de dilution de la responsabilité politique.
- Nous décongestionnons le secteur public des armées de conseillers et de fonctionnaires révocables. Nous encadrons les cabinets des ministres, secrétaires généraux et administrateurs avec des employés actuels de la fonction publique.
2. Nous promouvons la notation objective de la valeur des fonctionnaires.
- Nous annulons la législation des mémorandums et le droit disciplinaire pour les fonctionnaires.
- Nous abolissons l’institution de disponibilité dans le cadre de la mobilité pour la rationalisation de la répartition du personnel entre les services et les ministères.
- Nous réhabilitons les, inconstitutionnellement licenciés, fonctionnaires.
- Nous annulons la loi anticonstitutionnelle pour la notation des fonctionnaires. La notation des employés et des services se fera sur la base d’indications objectives.
3. Nous affrontons avec détermination la bureaucratie et la plaie que constitue la multitude de lois et décrets.
- Nous limitons le contact direct entre administration et administré pour combattre la petite corruption.
- Nous améliorons les ΚΕΠ (Centres au Service des Citoyens) et nous les connectons avec les bureaux respectifs de tout le secteur public.
- Nous introduisons la carte électronique pour chaque citoyen qui contient toutes les informations nécessaires pour ses relations avec l’Administration.
- Nous simplifions la délivrance des permis de construire et des autorisations d’exercer des activités commerciales, par la diminution drastique des pièces justificatives et le renforcement substantiel des contrôles durant la réalisation.
- Nous constituons un bureau spécial de codification de la législation sous la responsabilité du Parlement grec.
4. Nous détruisons le triangle d’interdépendance entre partis politiques-oligarchie économique-banques.
Partis politiques
- Nous reformons le cadre des emprunts bancaires des partis, par l’instauration d’un plafond d’emprunt, interdiction d’emprunts à long terme et interdiction générale d’emprunter plus d’une petite partie de la dotation de l’Etat.
- Nous assurons le contrôle total et la transparence des comptabilités des partis.
Médias
- Nous activons sur le champ les ordonnances des lois, lesquelles :
a) Permettent à la Banque de Grèce et aux autorités judiciaires (procureurs) compétentes d’effectuer les contrôles sur le financement des entreprises de médias.
b) Sont valables pour toutes les Sociétés Anonymes et prévoient qu’une entreprise ne peut fonctionner indéfiniment à perte, sans être recapitalisée.
Nous lançons un appel d’offre public à base zéro pour les fréquences de radiotélévision.
Marchés publics
- Nous revoyons le cadre juridique qui régit les marchés publics, sur la base de la législation européenne correspondante.
- Nous renforçons les institutions de contrôle social, de transparence et de publication à tous les stades.
- Nous rendons plus rigoureuses les clauses de planifications et d’exécution des marchés publiques.
- Nous établissons un cadre institutionnel objectif et transparent pour les appels d’offre publics.
- Nous mettons un terme aux appels d’offre publics photographiques.
Rendre justice
- Nous systématisons le rassemblement de données et informations qui concernent des marchés publics obscurs, en cours de réalisation, ou qui ont été exécutés les cinq dernières années.
- Nous assurons la réparation immédiate des préjudices ou autres dommages aux biens et effets publics, dans les cas de conventions scandaleuses.
- Nous abolissons les ordonnances anticonstitutionnelles et offensantes pour la démocratie qui accordent l’immunité aux conseils d’administration du ΤΧΣ (Fonds Européen de Stabilité Financière) et du ΤΑΙΠΕΔ (caisse de mise en valeur et d’exploitation des biens publics grecs).
5. Nous assurons la légitimité et l’Etat de droit partout. Nous réunissons tous les mécanismes de contrôle, en un corps unifié, qui relève directement du Premier ministre. Dans cette orientation, les premières mesures concernent :
- Le renforcement et le soutien au ΣΔΟΕ (section fiscale pour la poursuite judiciaire des crimes économiques) et du Corps des Inspecteurs du Travail, de sorte que soit observée la loi au sein de l’économie privée et l’administration publique, mais aussi, que soit assaini le marche du travail, loin des pratiques d’exploitation sauvage des travailleurs et du travail au noir.
- Le soutien de la très réussie Autorité pour la lutte contre le blanchiment de revenus provenant d’activités criminelles.
- La remise en action de la commission de recherche de la provenance des revenus.
LE FINANCEMENT DU PLAN NATIONAL DE RECONSTRUCTION IMMEDIATE
1. Les 4 ressources principales pour l’augmentation des recettes publiques
a) Lutte contre l’interdépendance argent-politique et la fraude fiscal.
- Contrôle immédiat et résolu des sociétés off-shore et de tous ceux qui se trouvent cités sur «la liste Lagarde».
- Mesures efficaces contre la contrebande de produits pétroliers, produits du tabac et autres.
b) Stimulation de la demande
Les mesures contre la crise humanitaire et le rétablissement du salaire minimum garanti, stimuleront l’activité économique et renforceront les recettes publiques.
c) Liquidations et réglementation des arriérés auprès du fisc et des caisses d’assurance en prenant en compte les revenus des citoyens.
d) Accroissement et valorisation du patrimoine national, au lieu des privatisations des mémorandums et des cessions pour un plat de lentilles.
2. Redistribution des dépenses publiques
Nous aspirons au soutien des efforts de croissance et de l’Etat social. Ainsi, nous planifions des interventions, tel un nouveau système objectif et transparent pour les marchés publics et les travaux publics.
3. CONSTRUCTION D’UN ETAT SOCIAL MODERNE
Nous lançons progressivement la construction d’un Etat social moderne qui garantira l’accès de tous les citoyens à un niveau de revenus, de biens et de services, qui s’appuiera sur les piliers principaux :
UN SYSTEME D’EDUCATION NATIONALE, PUBLIQUE ET GRATUITE, organisé démocratiquement qui cultive la pensée critique et instruit tous les citoyens.
UN SYSTEME UNIVERSEL ET ACHEVE DE SANTE PUBLIQUE dont nous commençons l’édification par les soins de santé fondamentaux, administrés par des médecins de famille et des centres de santé urbains et ruraux.
SOUTIEN AUX CATEGORIES SOCIALES LES PLUS VULNERABLES comme les familles nombreuses, les handicapés ou ceux qui souffrent d’affections chroniques, les victimes d’abus divers, etc.
UN SYSTEME ACHEVE D’ASSURANCES PUBLIQUES que nous commençons à édifier en affrontant progressivement les problèmes énormes que les mémorandums ont créés au système actuel.
4. S’OUVRE LA VOIE POUR LA RECONSTRUCTION PRODUCTIVE
SECTEURS-CLES
Production agricole
Energie
Nouvelles technologies
Tourisme
Transport maritime
Construction
CHANGEMENT DU MODELE DE DEVELOPPEMENT
Participation du peuple
Défense de l’emploi
Réforme de l’Etat
Soutien à la science et la recherche scientifique
Protection et mise en valeur du patrimoine public
OBJECTIFS
Couverture sociale
Industrialisation
Protection de l’environnement
Equilibrage de la balance des transactions courantes
Par des moyens immédiats pour relancer l’Economie nous ouvrons la route pour la reconstruction productive du pays.
Au moyen de la reconstruction productive nous recherchons :
- La garantie des besoins sociaux de base :
- Par la production de produits agricoles, d’élevage, alimentaires et industriels à haute valeur ajoutée de savoir et de main d’œuvre.
- Par la production de biens et de services pour le logement, le vêtement, les transports et la santé
- Par l’amélioration de la qualité de standardisation, de la compétence technologique et de l’innovation.
- L’équilibrage viable de la balance des transactions courantes par la permutation dans la gamme des denrées produites en Grèce, mettant en avant les possibilités de bien de secteurs de l’Economie grecque qui sont orientés vers l’exportation.
- L’industrialisation par le biais d’une politique industrielle démocratiquement décidée, globale et à long terme.
- Le développement multidimensionnel du pays mettant en avant les avantages spécifiques de chaque région.
-La protection de l’environnement et la transformation de l’Economie par des critères sociaux et écologiques. L’environnement constitue un avantage fondamental pour des secteurs comme l’agriculture, l’élevage et la nourriture, la production d’énergie, le tourisme etc.
La reconstruction productive exige un nouveau modèle de croissance et de productivité. Où dominent :
- La participation et l’initiative populaires
- La revalorisation du travail humain
- Le savoir et la recherche scientifiques, la technologie et l’innovation
- La protection et la mise en valeur du patrimoine public et non sa liquidation.
- Un Etat institutionnellement reconstruit, favorable au développement, au moyen d’une forte majoration des investissements publics.
- Un système économique mis en place conjointement par un secteur public restructuré et un secteur privé régi par des réglementations transparentes, les petites et moyennes entreprises et un nouveau secteur social sain, orienté vers les principes de solidarité et de coopération.
La restructuration productive exige des changements des structures de l’Etat.
Une profonde reforme démocratique qui inversera les rôles entre l’Etat central et les institutions régionales et locales où :
-L’Administration centrale définira les directives en matière d’Economie et de croissance, d’environnement, de politique sociale, etc.
-Les Régions se transformeront en institutions prioritaires du développement. Leur objectif sera d’assumer une responsabilité accrue au Plan d’Investissements Publics.
-Les nouvelles institutions d’inspection sociale et de participation populaire rendront les citoyens facteurs actifs de la restructuration productive, sociale et environnementale de notre partie.
La reconstruction productive se concentre principalement aux domaines suivants :
1. Production agricole – Industries des aliments et des boissons. Assurance de suffisance nutritionnelle et accès de tous aux aliments de haute qualité à des prix abordables.
2. Système énergétique productif.
Suffisance énergétique pour la production et la consommation et affranchissement progressif des combustibles fossiles.
3. Nouvelles technologies et matériaux nouveaux.
Développement de la recherche et de la production nationale pour la modernisation de l’industrie et production de produits de haute valeur ajoutée et de moindre empreinte environnementale.
4. Tourisme.
Développement touristique viable dans et par de nouvelles formes de tourisme alternatif. Diffusion du bénéfice à toute la société.
5. Transport maritime
Couverture complète de la desserte par la voie maritime de toutes les iles grecques. Un organisme industriel pour la construction et la réparation navale. Renforcement de l’emploi des ouvriers de la mer aux droits de travail établis. Augmentation des recettes provenant des transports maritimes.
6. Constructions et matériaux de construction
Orientation vers des interventions de qualité à des bâtiments déjà existants. Habitations et bâtiments publics antisismiques et favorables à l’environnement. Fin aux privatisations des infrastructures et relèvement du Programme d’Investissement Public. Développement de l’industrie des matériaux de construction mettant l’accent sur l’innovation.
LE FINANCEMENT DE LA RECONSTRUCTION PRODUCTIVE
1) L’Etat exercera pleinement ses droits de propriété et nommera des conseils d’administrations aux banques qui ont été recapitalisées avec l’argent de l’Etat.
2) Nous créons une banque publique de développement, laquelle se changera du financement de la reconstruction de la production.
3) Nous créons des banques spécialement pour les petites et moyennes entreprises et la production agricole.
4) Nous soutenons le développement de banques coopératives locales, qui auront un rôle particulier au développement régional.
5) Nous créons une Caisse des Avoirs de l’Etat, dont le capital initial sera constitué de ces mêmes biens publics.
6) Nous retraçons le nouvel ΕΣΠΑ (Cadre de Référence Stratégique Nationale), de sorte que ses interventions servent à promouvoir le plan de reconstruction productive.
7) Négociation décisive avec nos associes européens pour :
- La diminution de la dette publique et du coût lié à son service.
- L’existence d’un plan de développement européen du type plan Marshall, duquel la Grèce tirera bénéfice.
8) Nous explorons les possibilités de développer des rapports paritaires avec des pays autres que ceux de l’Union Européenne (Chine, Russie, pays du monde arabe et de l’Amérique latine), qui conduiraient à d’éventuels accords interétatiques, conventions entre organismes publics et contrats entre entreprises publiques, dans la perspective d’un essor commun de croissance.
La peur a changé de camp
Les lèvres serrées se sont transformées en poings serrés.
Et c’est un sentiment unique
quand le peuple se met debout.
C’est un sentiment unique
quand la peur s’en va et vient l’espoir.
Vient la dignité, la justice, la démocratie.
La Grèce est enfin prête
pour le grand pas vers le lendemain.
La Grèce, tourmentée et humiliée
par les mémorandums, lève la tête
et se tient à nouveau sur ses jambes.
La Grèce avance.
Et avec elle, l’Europe change.
Alexis Tsipras
Αλλίμονο λa vie n'est pas un Aliákmonas tranquille :
Mort d’un enfant d’Aphrodite
Crash en Espagne d’un chasseur F16* grec:
une douzaine de morts
ça commence mal
pour notre cher pallicare
qui n’aurait peut-être pas dû « faire l’avion » à la tribune
Tous les regards sont fixés sur lui :
cauchemar de capitaliste ronchon
A la santé de Karine Villard et de tous ceux qui, "nolens volens", nous ont prêter leur image !
un certain 25 janvier...
Quand N.D. et PASOK ont CHARLIE à la bouche
bien droit dans nos tsarouches
Pour charlie on charrie
ce charlie qu'on charria maint'nant on le chérie
c'est pas danette charlie
pas la peine de se lever tous ensemble pour charlie
Charlie est retombé un peu comme un soufflé
comme une paire de seins crevés ou dégonflés
charlie récupéré
d'autres d'ailleurs voulurent prendre le train en marche
mais il était bondé et ne passait pas l'arche
allah par ses fidèles a aussi répondu
le front sur le pâvé et vers le ciel le cul
25 ΙΑΝΟΥΑΡΙΟΥ ΕΚΛΟΓΕΣ ELECTIONS
Το πρωί του Μεγάλο Βράδυ
Η καλή μέρα το πρωί φαίνεται
mais c’est tout de même un beau succès
obtenu malgré les chantages de
malgré les coups de semonce de la
malgré les ingérences scandaleuses de quelques dirigeants européens
malgré les indécis
malgré celles et ceux coincés dans l’embouteillage dominical
d’une sieste crapuleuse
malgré ceux qui auraient bien voulu mais qui n’ont pas pu:
les exilés
entendez leur nostalgie : http://youtu.be/8XwI76iBIsg
les prisonniers
entendez leurs plaintes : http://youtu.be/kyZh4ScTxOQ
les trépassés
entendez comme on les pleure : http://youtu.be/rcqlpaxAkKI
Et maintenant une Gréce nouvelle va-t-elle naître ?
Ce n'est pas un espoir, c'est une nécessité
et vous qui passerez ici vos vacances d'été
apprenez donc ceci : http://youtu.be/_o7Mif2DbZ4
Quant aux anciens ils sont enfin disqualifiés
dans quelque purgatoire qu'ils aillent se reposer
ça vaut bien quelques OUZO
ΓΕΙΑ ΜΑΣ !
être ou n'être pas...tobe or not to be...ειμαι η δεν ειμαι...
enfants de l'humour vache nous chaussons nos tsarouches
et nous bottons le cul des porteurs de babouches
charlie agressé
charlie décimé
charlie massacré
mais
mais charlie démultiplié
"εμεις ειμαστε ΤΣΑΡΛΙ "allah" σιΩπη !"
crucufié ou pendu je suis
CHARLIE
to be or be not charlie, zat iz ze question
être ou ne pas être charlie j'attise la question
"...et comme vous charlie je suis tout des premiers...
moi un charlie !? rayez cela de vos papiers
j'ai fait jusques ici profession de l'être
mais après ce qu'autour je viens de voir paraître
je vous déclare tout net que je ne le suis plus
et ne danserai pas au grand bal des faux-culs"
ça te fait marrer, MARIS ?
être ou n'être pas charlie ? c'est LA question
peut-on d'ailleurs être sans naître ? est-on ce qu'on nait ?
ποποποπο ! en voilà des questions !
réflexions pièges à con !...
je fus petit charlie tout d'abord spontané
des copains qui s'en vont... on est tout hébêté
mais lorsque je le vis sottement récupéré
de mon pauvre pseudo je me suis contenté
ledif donc je reste, trocas mais pas très classe
et je relis Shakespeare seul anglais que j'embrasse
allo papa tango...
enfants de l'humour vache rechaussons nos tsarouches
nous saurons affronter les porteurs de babouches
...CHARLIE !
http://youtu.be/jSaJLMkFBeg
...
et tous les enfants nés le 7 janvier 2015 furent prénommés
CHARLIE