la dame à la croix de fer
pour accompagner votre lecture
http://youtu.be/CZWDpuQOP8g
Du pauvre mois de mars il ne faut pas médire ;
bien que le laboureur le craigne justement,
l’univers y renaît ; il est vrai que le vent,
la pluie et le soleil s’y disputent l’empire.
Qu’y faire ? Au temps des fleurs, le monde est un enfant !
C’est sa première larme et son premier sourire !
Le Grec le sait bien qui cire ses tsarouches
Vite polissons
Les doux polissons !
Pompons les pompons
Et les repompons !
et affronte l'avenir en combattant farouche.
Après le danger turc, le péril allemand !
et l'usurier est pire que n'était l'ottoman !
Melina vous offre ce chant de "klephtes"
και τη μετάφραση :
Tου ΜΠΟΥΚΟΒΑΛΛΑΣ
Τ΄είναι ο αχός που γίνεται και ταραχή μεγάλη ;
Μήνα βουβάλια σφάζονται ; μήνα θεριά μαλόνουν ;
Κι΄ουδέ βουβαλιά σφάζονται, κι΄ουδέ θεριά μαλόνουν
Ο Μπουκοβάλλας πολεμά με χίλιους πεντακόσιους,
Στην μέσην΄ς το Κεράσσοβον και΄ς Καινούριαν χώραν.
Κόρη ξανΘή εχούιαξεν από το παραθύρι
"Πάψε΄Ιαννη, τον πόλεμον, πάψε και τα τουφέκια,
Να κατακάτσ΄ο κορνιάχτος, να σηκωθ΄η αντάρα
Να μετρηθή τ΄ασκέρι σου, να ιδούμεν, πόσοι λείπουν"
Μετρούντ΄οι Τούρκοι τρείς φοραίς, και λείπουν πεντακόσιοι
Μετρούνται τα κλεφτόπουλα, τους λείπουν τρεις λεβέντες
Έπηγ΄ο ένας΄ς το νερόν, κ΄άλλος ψώμι να φέρη,
Ο τρίτος ο καλύτερος στέκεται ΄σ το τουφέκι.
Voici une adaptation "romantique" de ce chant (avec l'orthographe du XVIIIè siècle):
de BOUKOVALLAS
Quel bruit !... immole-t-on les hôtes des étables
Est-ce que des bois reculés
Luttent des monstres formidables
Non les monstres luttans, ni les boeufs immolés
ne portent de tels chocs dans les airs ébranlés,
Boukovallas combat: les balles meurtrières
Peuvant autour de lui, sifflent de toute part.
Mais quelle jeune fille, aux blonds cheveux épars,
L'appelle du haut des bruyères?
"Reviens Boukovallas ! L'ottoman est chassé,
Garde ton plomb, le combat a cessé."
Des tourbillons poudreux déjà s'abaisse l'ombre,
et des braves encore l'honneur s'est réhaussé.
Les Turcs en rougissant trois fois comptent leur nombre
Cinq cents de leurs soldats ont expiré vaincus
Les Grecs se sont comptés, trois d'entre eux ne sont plus:
Deux, en nobles héros, frappés à la poitrine,
l'autre, encore plus vaillant, dans les rangs abattus
Dort couché sur sa couleuvrine.
Et une traduction, moins lyrique mais plus "littérale" :
Quel est ce bruit qui devient un grand tohu-bohu
Sont-ce des buffles qu'on égorge ? des fauves qui se battent ?
Ni buffles qu'on égorge, ni monstres qui se battent,
C'est Boukovallas qui combat avec mille cinq cents hommes
Entre Kerassovouno et le Pays Nouveau.
De sa fenêtre une fille blonde crie:
"Iannis, cesse le combat, fait taire les fusils,
que retombe ce nuage de poussière, que se lève le brouillard
pour que se compte ton armée afin de voir combien ont disparus"
Les Turcs se comptent tois fois, il en manque cinq cents
Les petits klephtes se compent, trois d'entre eux sont manquants
L'un est allé chercher de l'eau, un autre du pain
Le troisième se tient à côté de son fusil.
ΜΕΛΙΝΑ
Les klephtes, ces "bandits d'honneur" qui attaquaient les caravanes ottomanes
pour nourrir leurs familles réfugiées dans les montagnes, sont à la retraite depuis longtemps
mais qui sait s'ils ne reprendront pas bientôt du service...
- Je vous le demande:
Acceptez-vous ou non une coupe?
- Elle leur demande !
et à nous elle ne nous a pas demandé
si nous voulions ou non une décapitation !
à gauche "prêteurs" et "détenteurs d'obligations" / à droite "salariés" et "retraités"
Un petit film pour comprendre ce qui nous arrive:
και στη Γαλλία ;
Deux petits quatrains tibétains:
Les chefs aiment les flatteries
Les flatteurs bénéficient d'une protection particulière
Pour ceux qui agissent mais ne flattent pas
"Egalité" et "justice" sont des mystifications.
Ils font mine de croire en un truc en « isme »
Ils répètent partout leur rengaine de l'aide aux pauvres
Cette bande de menteurs qui prétendent dire la vérité
Ne sont pas des dirigeants mais des destructeurs.
Le journal de campagne présidentiel 3
de Jean Claude Valentini
Il n'y a pas d'autre opinion publique que médiatique, privée. Séparons-nous d'elle ! Faisons front ! Soyons masse ! Affirmons notre volonté d'un mode de vie communiste, contre tout communautarisme d'état !
Quelle que soit l'issue de l'actuelle élection présidentielle, notre vie ne s'en trouvera pas modifiée. Quelques prolétaires heureux de leur sort ne font pas un printemps. La nature capitaliste de l'état français demeurera.Les socialistes l'ont d'ailleurs garanti avec une solennité appuyée : avec nous, ça sera l'austérité dans la justice ! Voilà une promesse que les dirigeants socialistes vont tenir. N'en doutons pas ! C'est donc une invitation lancée à l'adresse des classes capitalistes dirigeantes : aidez-nous ou tout du moins ne vous opposez pas à nous, nous vous garantissons la paix sociale.
La droite pour qui l'austérité est synonyme d'impôt sur la fortune poursuit, dans les faits, un but semblable, même si elle hurle : au voleur ! À l'assassin ! Comme Brassilach, I' veulent nous épurer. Elle aussi veut une population disciplinée et soumise aux impératifs de « l'économie nationale ». C'est-à-dire soumise aux lubies des fonds de pension anglo-saxons, constitués par des « revenus » populaires, soumise aux montages opaques des banques et entreprises européennes qui spéculent contre leurs propres peuples, avec l'appui des représentants populaires du peuple, soumise à la juste concurrence de la république populaire chinoise, qui a la responsabilité de nourrir plus d'un milliard de personnes, pour ne citer que quelques exemples populaires d'éléments économiques nationaux.
Mais pour des raisons de campagne électorale, la mondialisation n'existe plus. La mondialisation a disparu, sans que personne ne se dise : oh la la ! C'est la fin du monde! Et évidemment aucun guignol médiatique non plus pour dire : SARKOZY MENTEUR ! En aucun cas ! Et même mieux, avec une unanimité toute professionnelle, tous se sont accordés pour qualifier son entrée en campagne, de « TONI-TRUANTE ». C'est qu'en effet, pour eux, la campagne électorale n'était pas réellement lancée, tant que la jeune fille de pensionnat n'avait pas enfilé une tenue plus sexy de femme publique, pour relancer sur le bitume, la clientèle électorale, en gueulant au scandale de l'oppression du capital. Le candidat-président est donc le candidat des médias. Le candidat sans lequel le vedettariat journalistique ne pourrait pas fabriquer sa fable sur l'envie de politique, de la part de l'opinion publique. C'est évidemment d'eux qu'ils parlent et des milieux interlopes qu'ils fréquentent. Ce faisant, ils contribuent activement à la l'umpénisation des esprit, car le « sarkozysme » prétend précisément à la vraie politique, avec les vrais gens, sans l'intermédiaire des partis, syndicats et associations, tous pourris ! L'individu-Sarkozy manifeste à ce propos un culot sans bornes. En 2007, il se présentait, comme l'opposant au président sortant, sur l'air de la droite qui allait faire aimer la droite. En 2012, il fait encore plus fort, il se présente contre lui-même !!! Avec un discours global du genre : rien que moi et le peuple, et vous allez voir comme la FRANCE va être FORTE !
Et que font les médias face à ce dispositif idyllique ? Ils relaient la supercherie politique, comme fascinés par le culot du candidat en question. Ils choisissent d'adopter l'angle de la « mobilisation » voulue, préparée et orchestrée, comme quasi opposition, au lieu de montrer le contraste qu'il y a entre cet échauffement de nature étatiste et le contenu gouvernemental réel du mandat qui vient de s'écouler. Ils se focalisent sur le sentimentalisme capricieux de la « star » qui accuse, dans son discours d'entrée en campagne, « sans jamais le nommer, François Hollande, de ne pas "aimer la France" ou de mentir aux Français en se présentant en candidat du "peuple contre les élites". Si ce n'est pas un soutien implicite, à qui et de quoi parle-t-on ??? D'un autre côté, qualifier cette entrée en campagne, de tonitruante, convient à merveille, parce qu'émane de ce qualificatif un grain de vérité. Après l'escroquerie aux réformes, en effet, une majorité de Français tend à identifier la politique qui a été menée depuis cinq ans à une sorte d'abus de bien social de grande ampleur, en faveur des classes capitalistes françaises et européennes, en premier lieu. Avec ses exactions à l'encontre de tout ce qui constitue la vie publique, et bien au-delà des seules conditions de vie et de travail, la droite ouverte aux marchés et à ses actionnaires n'a évidemment, dans le cadre de la dette odieuse en cours, d'autre recours que de faire le procès de toute la société, accompagné d'actes d'accusation et de réquisitoires qui partent dans tous les sens, en privilégiant son attaque contre chômeurs et immigrés. Son discours folklorique sur la chrétienté et l'islam, n'étant là que pour donner le sentiment illusoire d'une appartenance communautaire, qui, dans les faits, se limite à une sorte de socialisme des imbéciles. Chacun a maintenant en tête, qu'il l'approuve ou la rejette, l'image française de la « révolution conservatrice » : une défense étatique acharnée des communautés morales, commerciales, industrielles et financières qui constituent la démocratie capitaliste. Il faudra autre chose qu'une élection présidentielle pour les mettre à bas.
Ou changer le mode de vie tout entier ou vivre dans la corruption.
Il faudrait pour certains reconstruire des Bastilles:
Honte à toi Claud' Guéant
qui détestes les gens !
Claud' Guéant tête de veuf
ce n'est pas une excuse:
ton deuil n'est pas tout neuf !
Là vraiment tu abuses:
tu fustiges, tu accuses
de pauvres immigrés
des pires atrocités,
tu dépasses en abomination
les nazillons du front.
L'élève en fascisme a dépassé ses maîtres !
combien de crimes racistes vas-tu encore commettre ?
Hors d'ici Claud'Guéant
casse-toi ou on te pend !
Papy FeràBéton
merci à tropical boy
merci à PLACIDE
Vos pères se sont battus pour n'être pas teutons
Traîtres ! Et maintenant vous léchez leur petons
le "premier" d'entre vous se couche sous la Mère Quelle
la Dame à la croix de fer et son faux air d' "angèle"
Mieux il conspire en douce des petits arrangements
elle doit lui assurer qu'il est son seul amant
Sarkubu le petit fait alors allégeance
et se couche à ses pieds sans la moindre élégance
Et les Français sont là amorphes sans réaction
eux qui avaient su faire tant de révolutions ?
Encore heureux qu'il y ait de valeureux ronchons
pour ouvrir leur grande gueule comme Jean Luc Mélenchon
"Je veux, si je suis élu président de la République, que d'ici à deux ans plus personne ne soit obligé de dormir sur le trottoir et d'y mourir de froid. Parce que le droit à l'hébergement, je vais vous le dire, c'est une obligation humaine
. 
http://youtu.be/X-TorkK-x6M
Mes chers amis, comprenez-le bien : si on n'est plus choqués quand quelqu'un n'a pas de toit lorsqu'il fait froid et qu'il est obligé de dormir dehors, c'est tout l'équilibre de la société où vous voulez que vos enfants vivent en paix qui s'en trouvera mis en cause".
Quelle misère, j'vous jure!
http://bernache.canalblog.com/
lefildarchal.over-blog.fr
un fil à suivre absolument au bout duQuel vous trouverez des trésors poétiQues
www.laquadrature.net/
http://www.plaiethore.com/
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http://karinevillard.over-blog.com/
la géniale fakeuse farceuse
visitez aussi la galerie de Karine
http://karinepablo.skyblog.com
un autre farceur "fakeur"
http://philippehermange.free.fr
http://www.choppix.com
pour un peu de légèreté:
www.lolomolubdo.com -
Un regard sain sur le monde:
http://sixtine-39.over-blog.net
visitez sa "chapelle"
et un regard lucide:humeurs-en-billets.over-blog.com
Fred de Roux roule pour vous
"QuelQu'un avec Qui il fait bon causer" (POPORAMA)www.fanch-bd.com
http://www.le-monde-pluriel.eu
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http://alain.lestie.free.fr
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les mopopopouètes apprécient les anonymous
www.rezocitoyen.fr/anonymous.html
En raison de ce qu'ils ont pris pour un soutien à Bin Laden et Kadhafi
nos mécènes nous ont coupé les vivressauf notre ouzoteur
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